Je peux définitivement ajouter The Help à la liste des films qui m'ont poussés au bord des larmes. La performance de Viola Davis -qui d'ailleurs ne fait que m'impressionner depuis que je l'ai découverte dans la nouvelle série à grand succès How to get away with murder- était émouvante. Emma Stone à biensur elle aussi bien joué son rôle, Skeeter, une jeune écrivaine qui tente (avec succès) de rassembler les vécus des bonnes afro-américaines. L'histoire à lieu dans les années 60 dans la ville du Mississipi.
Contrairement aux autres films qui mettent en avant la façons dont les noirs vivaient dans le temps, ce film n'a rien de "révolutionnaire". La vie d'Aibileen n'à pas changé à la fin, (non biensure elle est renvoyée pour un vol qu'elle n'a pas commis,bref).
The Help est selon moi une histoire qui libère, une façon de se défouler.. Ceux qui écrivent dans leur journal peuvent comprendre ; écrire tout ce qu'on a sur le coeur afin de sortir l'émotion qui nous ronge. En tout cas c'est ce que j'ai ressenti en regardant le film. Les noirs vivaient tête baissée face à la ségrégation mais, avant tout ils vivaient. Ils riaient,ils s'aimaient et l'amour n'avait pas de couleur. Le belle exemple était celui de Skeeter et de sa nounou Constantine.
On fait face à l'hypocrisie entre les blancs ainsi que leur naïvité (partager les toilettes c'est mal mais être avec les enfants et les nourrir ah oui ça c'est rien).
Un des personnage qui m'a le plus touché est la nouvelle patrone de Minnie. Exlue de tous elle essaie désespérément de faire partie du club des grandes dames. Un peu en l'aire et gaffeuse, elle essaie aussi d'être une bonne épouse.. Sa situation est complètement différente de celle de Skeeter est pourtant les deux seront celles qui se rapprocheront le plus des noirs.
Quant à Skeeter, elle est évidemment l'essence du film, sans elle le livre ne serait pas publié. Ce que j'aime particulièrement avec le rôle d'Emma Stone c'est qu'il tendre. A aucun moment Skeeter se rebelle ou essaie de créer une espèce d'émeute. Elle connait très bien la situation des bonnes et le respecte. L'éducation que Constantine lui a transmise l'a permis de voir les noirs d'une autre façon. On peut dire que les bonnes étaient tous des Constantine pour elle.
Je dois avouer que Allison Janney qui joue la mère de Skeeter a aussi attirer mon attention. Au début du film je me disais "en voilà une qui a une drôle de mère", la scène avec les perruques était étrangement drôle. Vers la fin, on se rend compte qu'elle est exactement comme sa fille (ou en tout cas elle partagait ses valeurs). Une révélation du personnage que j'ai beaucoup aimé.
Ma scène préfère est sans aucun doute la dernière! "Je suis à peu près certaine de pouvoir dire qu'aucun membre de notre famille n'a jamais demandé à Demetrie ce qu'on ressentait quand on etait une Noire travaillant pour une famille de Blancs dans le Mississipi. Il n'est jamais venu à l'idée d'aucun d'entre nous de lui poser cette question. C'est la vie de tout les jours.
Quant à Skeeter, elle est évidemment l'essence du film, sans elle le livre ne serait pas publié. Ce que j'aime particulièrement avec le rôle d'Emma Stone c'est qu'il tendre. A aucun moment Skeeter se rebelle ou essaie de créer une espèce d'émeute. Elle connait très bien la situation des bonnes et le respecte. L'éducation que Constantine lui a transmise l'a permis de voir les noirs d'une autre façon. On peut dire que les bonnes étaient tous des Constantine pour elle.
Je dois avouer que Allison Janney qui joue la mère de Skeeter a aussi attirer mon attention. Au début du film je me disais "en voilà une qui a une drôle de mère", la scène avec les perruques était étrangement drôle. Vers la fin, on se rend compte qu'elle est exactement comme sa fille (ou en tout cas elle partagait ses valeurs). Une révélation du personnage que j'ai beaucoup aimé.
Ma scène préfère est sans aucun doute la dernière! "Je suis à peu près certaine de pouvoir dire qu'aucun membre de notre famille n'a jamais demandé à Demetrie ce qu'on ressentait quand on etait une Noire travaillant pour une famille de Blancs dans le Mississipi. Il n'est jamais venu à l'idée d'aucun d'entre nous de lui poser cette question. C'est la vie de tout les jours.
Ce n'était pas une chose sur laquelle les gens se sentaient obliger de s'interroger."
Une Aibileen en larme qui quitte la maison des Mobley, non pas des larmes de tristesse mais plutôt des larmes de soulagement. Viola Davis incarne, ici, avec perfection une femme remplit de tristesse dû à la mort de son fils. L'amour qu'elle transmet à la fille des Mobley avec tant de sincérité
The Help un drame américain réalisé par Tâte Taylor, le film est une adaptation du livre de Kathryn Stckett qui porte le même nom.
Une Aibileen en larme qui quitte la maison des Mobley, non pas des larmes de tristesse mais plutôt des larmes de soulagement. Viola Davis incarne, ici, avec perfection une femme remplit de tristesse dû à la mort de son fils. L'amour qu'elle transmet à la fille des Mobley avec tant de sincérité
The Help un drame américain réalisé par Tâte Taylor, le film est une adaptation du livre de Kathryn Stckett qui porte le même nom.
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